Rappel : rencontre avec le cinéaste Raphaël Nadajri
Quand: | Retour au calendrier » 23 octobre 2013 @ 20:00 - 21:00 | |
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Où: | 6bis rue Michel-Ange 75016 6 Rue Michel-Ange 75016 Paris France |
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un rappel donc : Raphaël Nadjari à qui l’on doit notamment les très beaux films « Avanim » et Tehilim » et qui sort sur les écrans français le 4 décembre son dernier opus « Le cours étrange des choses » sera présent le
23 octobre à 20h à la Médiathèque Baron de Rothschild 6bis rue Michel-Ange 75016 à 20h,
A l’occasion de la projection du second film de sa trilogie new-yorkaise
« I am Josh Polonski’s brother » (2001)
Reservation : maber@aiu.org / 0155747910
Aden
(…) le film ressemble à son héros : brumeux, brusque, d’une épaisse noirceur, parfois pesant (par le poids d’une éducation, juive ici, qui pèse et blesse) mais aussi traversé d’une énergie qui finit par frayer un petit chemin de lumière.
Le Nouvel Observateur
(…) cette envie furieuse de faire du cinéma passe l’écran, on pense par moments au Scorsese de « Mean Streets », et cette fougue d’un cinéaste qui n’a pas 30 ans fait un bien fou.
Les Inrockuptibles
(…) I am Josh Polonski’s brother est aussi fragile et émouvant que son outil est antique. (…) Raphaël Nadjari esquisse un film captivant sous tous rapports.
Positif
Fiction personnelle écrite par le cinéaste, cette oeuvre indépendante aux allures de home movie fait valoir le format super-8 à merveille. Riche en couleur locale, le second long métrage de Nadjari (…) s’inscrit dans les ténèbres du film noir (…)
Repérages
(…) un film construit à bout de bras, comme une révélation périlleuse mais vitale au monde.
Urbuz
(…) I’m Josh Polonski’s brother de confirmer, chose étrange, que l’un des meilleurs cinéastes new-yorkais est français.
Cahiers du Cinéma
La beauté du second film de Nadjari ne tient pas dans ses ambitions « indépendantes », trop voyantes, mais dans ce qui résolument semble lui échapper. Le dispositif exhibitionniste de la mise en scène (…) est désamorcé par un scénario de la dérive et de l’éloignement progressif (…).
Le Figaro Magazine
Par Daniel Toscan du Plantier
Une fois encore, New York est la vedette principale du film, cadrée au plus près de sa misère, de sa dureté, avec toujours cette sorte de grâce qui semble se confondre avec l’art du cinéma.
Le Figaroscope
Intéressant portrait d’un homme mystérieux dans une atmosphère de film noir, composée par une caméra super 8 à l’image délibérément sombre et mal définie. Raphael Nadjari (…) a un style captivant, auquel s’accorde l’étrangeté lunaire de Richard Edson.
Le Monde
(…) la rencontre inédite de deux genres qui se sont longtemps croisés sans jamais se trouver : le film de famille (jamais en reste d’un cadavre dans le placard) et le polar (souvent en charge d’une famille à défendre).
I am Josh Polonski’s brother a tout du film météorite. Du cinéma sans frontières ni concessions, libre et authentique. Entre oppression et jubilation !
L’image est rétrécie, viciée par ce format ingrat et crade honni de l’industrie hollywoodienne. C’est de cette crasse que surgit la poésie. Subrepticement, les enjeux du film noir et du documentaire font place à l’image.
Télérama
I am Josh Polonski’s brother dure une heure et demie, mais donne le sentiment d’être beaucoup plus bref. Plus qu’à un exercice de style, il fait songer par sa concision à un équivalent cinématographique de la nouvelle littéraire…
Première
Rien à voir avec les névrosés légers du New York de Woody Allen. Dans cette descente aux enfers, la rue est documentaire, la famille oppressante et les tabous profonds.